<                                                       >

I’ll Fly With You
2021
Impression sur aluminium, gravure par électrolyse, peinture acrylique
37 x 29 x 7cm

vues de l’exposition personnelle « la lune dans un oeil et le soleil dans l’autre » au Centre d’Art Contemporain de Nîmes (CACN), commissariat Laureen Picaut & Bertrand Riou, Nîmes, 2021

02 Léo Fourdrinier_CACN_ I’ll Fly With You Léo Fourdrinier_CACN_ 1

Comme une parfaite analogie aux réactions chimiques se produisant dans le cœur du soleil, la pratique de Léo Fourdrinier est le résultat de fusions. Son esthétique est imprévisible, déchainée et sans limites. Par les multiples assemblages et les réinventions opérées, les formes évoluent, deviennent fluides, insaisissables. […]

L’exploration de l’univers de la mécanique amène Léo Fourdrinier à évoquer la sensualité des courbes d’une moto dans I’ll Fly With You (2021). Le schéma d’un moteur de moto se décompose en arrière-plan et se confronte à la musculature de deux bras en image de synthèse. La surface lisse et séduisante d’une plaque en aluminium rose nacrée et la référence au hit de Gigi D’Agostino déconstruit l’archétype viriliste et biaisé d’une définition unique de la masculinité.

-Laureen Picaut

Like a perfect analogy to the chemical reactions occurring in the heart of the sun, Leo Fourdrinier’s practice is the result of fusions. His aesthetic is unpredictable, unleashed and limitless. Through multiple assemblages and reinventions, the forms evolve, become fluid, elusive.[…]

The exploration of the world of mechanics leads Leo Fourdrinier to evoke the sensuality of the curves of a motorcycle in I’ll Fly With You (2021). The schematic of a motorcycle engine breaks down in the background and is confronted with the musculature of the body. The schematic of a motorcycle engine breaks down in the background and is confronted with the musculature of two arms in computer generated images. The smooth and seductive surface of a pearly pink aluminum plate and the reference to Gigi D’Agostino’s famous song deconstructs the virilistic and biased archetype of a single definition of masculinity. 

 

<                                                       >